Standard de la mémoire et l’équilibre des organisations de la société civile – FECU Social

La législation chilienne indique que les organisations à but non lucratif (OBNL) relèvent du ministère de la Justice et «doivent également préparer un rapport annuel expliquant leurs activités et un bilan approuvé par l'assemblée ou, dans les fondations, par l'annuaire». Peu d'informations sont disponibles auprès des OBNL, ce qui rend difficile l'établissement de relations de confiance avec la communauté. Le faible lien entre la population et les OBNL (44% indiquent ne pas avoir de lien social) est expliqué en grande partie par la méfiance, puisque 16% ne font pas confiance à ce que les OBNL font avec l'argent qui leur est donné et 8% indiquent qu'il n'y a pas de clarté sur l'efficacité réelle de leurs programmes.

La société civile identifie les obstacles à la responsabilité:

a) Facteurs culturels: manque de culture de transparence. La petite société a l'habitude d'exiger qu'ils soient tenus pour responsables et concentrés sur d'autres questions.

b) Facteurs économiques: la responsabilité est rarement envisagée dans les budgets des OBNL. Les organisations sont plus préoccupées par la subsistance que par le moyen de rendre.

c) Facteurs internes: faible pertinence de la question pour les membres des OBNL ou inexpérience. La peur de l'exposition dissuade la responsabilité.